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| Les classes ( métiers ) jouables | |
| | Auteur | Message |
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Akimitsu Azama Noble
Nombre de messages : 113 Age : 33 Ville : Edo Emploi : Aristocrate Date d'inscription : 06/08/2006
| Sujet: Les classes ( métiers ) jouables Dim 13 Aoû - 12:31 | |
| Bon j'espère que ça ne dérange pas les admines Mais je me permet de faire un topic pour montrer les différents classes et métiers que les nouveaux joueurs pourront utiliser. bien sûr cette liste ne sera pas exhaustive, et sera complété quand j'aurai des idées ou quand je verrai des idées interessantes. ^^ Ce topic à juste pour but de vous permettre de vous faire une idée sur les différentes possibilitées de jeu. Et de vous informer sur la classe que vous jouez ! Si les administratrice ne sont pas d'accord, vous pouvez effacer le sujet... ^^ Ps : Si vous percevez une erreur quelconque ( chronologique, orthographique, ect... ) faites m'en part et je la corrigerai ^^ Liste Générale : - Samouraï, classe de guerriers principalements masculins - Ronin, samouraï sans maîtres, considérés comme des parias - Daimyo, seigneur respecté ayant nombre de gens sous ses ordres - Ninja, guerriers de l'ombre, classe d'assassins - Geisha, "hôtesse" et personne d'art, composé exclusivement de femmes. - Maiko, apprenties geisha, travaillant au plus souvents comme femmes de ménage - Bonze, prêtres bouddhistes et hommes de paix mais maîtres d'arts martiaux - Yamabushi, prêtres bouddhistes mais guerriers utilisant des lames - Miko, prêtresse shintoïstes capable de converser avec les esprits et de les invoquer - Marchands, restaurateurs, ect...
Dernière édition par le Lun 14 Aoû - 20:51, édité 2 fois | |
| | | Akimitsu Azama Noble
Nombre de messages : 113 Age : 33 Ville : Edo Emploi : Aristocrate Date d'inscription : 06/08/2006
| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Dim 13 Aoû - 12:36 | |
| Le Samouraï
Un samouraï (侍 ou 武士, samurai) est un membre de la classe guerrière qui a dirigé le Japon féodal durant près de 700 ans. Le terme « samouraï » - qui est mentionné pour la première fois dans un texte du Xe siècle et vient du verbe saburau qui signifie « servir » - est largement utilisé dans son sens actuel depuis le début de la période Edo, vers 1600. Auparavant, on les désignait plutôt par les termes mono no fu (jusqu'au VIIIe siècle), puis bushi (武士), qui peuvent l'un ou l'autre se traduire par « homme d'armes ».
Un samouraï n'ayant pas de rattachement à un clan ou à un daimyō (seigneur féodal) était appelé un ronin. Un samouraï qui était un vassal direct du shogun était appelé hatamoto.
Cependant, tous les soldats n'étaient pas samouraïs, ceux-ci constituant une élite équivalent en quelque sorte aux chevaliers européens ; l'armée, à partir de la période Kamakura, reposait sur de larges troupes de fantassins de base nommés ashigaru et recrutés principalement parmi les paysans.
Avec la pacification de la période Edo, la fonction combattante des guerriers diminue et ceux-ci deviennent des fonctionnaires. Ils vont laisser le côté guerrier pour les cérémonies, et commencer à s'intéresser aux arts (surtout l'écriture). Néanmoins, peut-être pour se redonner de la valeur, ils vont codifier des règles très strictes de leur caste, sous le nom de Bushidō (voie du guerrier). Le suicide rituel du seppuku — aussi connu sous le nom d'Hara-Kiri (littéralement « ouvrir le ventre » ) — devra être interdit à certaines périodes par le shogun (dictateur militaire du Japon). En effet, pour sauvegarder son honneur, un samouraï devait se faire seppuku s'il arrivait malheur à son maître, à sa famille, ou simplement s'il avait fait une faute grave, son seigneur pouvait lui commander à n'importe quel moment le seppuku s'il ne s'estimait pas satisfait. Ce rite provoquait parfois des ravages dans les rangs des samouraïs. | |
| | | Akimitsu Azama Noble
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| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Dim 13 Aoû - 12:42 | |
| Le Rõnin
Après la période Sengoku (1467 - 1568), l'image des samouraïs se dégrada, et ils furent considérés comme des mercenaires à la solde de leurs maîtres. C'est à cette époque que le nombre de rōnin augmenta. Les rōnin combattaient pour leurs idéaux. On leur associait souvent l'image du preux chevalier. Nombre d'entre eux devinrent des prêtres bouddhistes errants (Komuso), vivant d'aumônes.
C’est surtout lors de l’ère Edo (1600 - 1868) que le nombre de rōnins alla en croissant : le shogunat avait en effet mis en place un système rigide qui interdisait aux samouraïs de changer de maître, de se marier hors de leur clan, ou d’avoir des occupations extérieures au clan sans la permission de leur ancien maître alors que les règles étaient beaucoup plus flexibles sous les anciens régimes. De fait, la mort ou la ruine de son maître rendait presque impossible au samouraï d’en trouver un autre et le forçait à devenir rōnin, c'est à dire une sorte de paria n'ayant pas de classe propre dans une société extrêmement hiérarchisée.
Le rōnin avait une mauvaise réputation, contrebalancée pourtant par de nombreux récits à sa gloire. Si le statut de rōnin était peu enviable en raison du mépris et de la honte liée à cette situation, il était pourtant recherché par certains samouraïs qui considéraient qu’il s’agissait d’une expérience que tout bon samouraï se devait de vivre dans sa vie, fidèle au proverbe « 七転八起 » (Shichi ten hakki – tomber sept fois et se relever huit). Ce proverbe symbolise la persévérance face à des situations difficiles. Le samouraï au cours de sa vie pouvait partir sept fois pendant une mission de « vagabondage » d’un an au cours de laquelle il vivait comme un rōnin avant de revenir servir son maître. Néanmoins, un samouraï devenait plus souvent rōnin en raison de circonstances indépendantes de sa volonté que parce qu’il aspirait véritablement à cette situation.
Les rōnin étaient méprisés et discriminés par les samouraïs qui jalousaient probablement leur grande liberté personnelle. Pourtant, ils étaient respectés par les basses classes, bien que ces derniers se méfiaient néanmoins d'eux : de nombreux récits content l’histoire d’un rōnin châtiant d’arrogants samouraïs qui tyrannisaient un village. Dans d’autres histoires, les villageois louent leurs services pour se défendre contre des bandits (comme dans le film Les sept samouraïs). Souvent leur est associé toutes les vertus du samouraï, comme en témoigne l’histoire des 47 rōnin ( je la mettrait plus tard si vous êtes sages ^^ ). | |
| | | Akimitsu Azama Noble
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| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Dim 13 Aoû - 12:46 | |
| Le Daimyõ
Daimyo (大名 littéralement « grand nom », selon la romanisation Hepburn daimyō, avec un o long) est un terme japonais désignant un seigneur féodal japonais. C'est un titre de kazoku, c'est-à-dire de noblesse japonaise.
À l'origine, il s'agissait de bushis des communautés rurales qui, durant la guerre d'Ōnin (fin du XVe siècle), en devenant chefs de groupes armés, s'autoproclamaient daimyō. À ce moment de l'histoire, ils n'avaient que peu de pouvoirs. Mais, par la suite, ils se libérèrent de l'emprise du bakufu et devinrent de puissants seigneurs provinciaux.
A l'époque d'Edo, le terme de daimyo était appliqué à tous les seigneurs de domaines dont le revenu annuel égalait ou dépassait 10 000 koku de riz. Ceux qui avait un revenu moindre était qualifiés de shômyô "petits noms".
Les daimyo appartenaient à plusieurs catégories : - Les fudai-daimyo, attachés personnellement au shogun - Les tozama-daimyo (ou daimyo "exterieur"), ralliés au bakufu - Les shimpan-daimyo, appartenant à la famille de Tokugawa
Avant la période Muromachi cependant, on utilisait plus volontiers le titre de myôden pour désigner les grands propriétaires de domaines. Ceux-ci étaient alors divisés en kokushu (gouvernant plusieurs provinces), ryôshu (gouvernant un territoire relativement petit) et jôshu (gouverneurs de châteaux). Ces daimyo se livrèrent des guerres incessantes dans le but d'agrandir leurs territoires. Au XVème siècle, à la faveur des troubles qui agitaient le pays, de nombreux shugo s'approprièrent des terres et prirent le titre de shugo-daimyo, construisant des châteaux pour se défendre contre les visées expansionnistes de leurs voisins. Il ne furent pacifiés qu'après la bataille de Sekigahara en 1600.
Les daimyo, bien qu'ayant une certaine autonomie, étaient néanmoins assujettis à des règles particulières, la plupart codifiées dans le Buke Shohatto, et devaient suivre la loi des maisons guerrières. Ils devaient, entre autres obligations, entretenir à Edo une résidence, y demeurer une année sur deux (ou six mois par an) et y laisser en otage leur famille et des vassaux. Le voyage du daimyō allant rendre hommage à son shogun à Edo s'appelait le daimyō-gyōretsu (大名行列), c'est à dire la "procession des seigneurs". | |
| | | Akimitsu Azama Noble
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| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Dim 13 Aoû - 12:51 | |
| Le Ninja Un ninja (忍者) ou shinobi (忍び) était un guerrier-espion dans le Japon médiéval. Le terme utilisé pour désigner une femme ninja est kunoichi (くノ一). Dans l'imaginaire des Occidentaux et même des Japonais, image d'ailleurs largement colportée par les films, bandes dessinées... on représente les ninjas comme des guerriers vêtus de noir, une cagoule masquant leur visage, accomplissant des exploits physiques en combat, des acrobaties, et experts dans les techniques de dissimulation, d'empoisonnement, et même versés dans les arts magiques... Cette image fantasmatique, et le terme même de ninja, sont relativement récent (vers 1780). Les termes utilisés pour désigner ces guerriers-espions étaient plutôt shinobi ou shinobu, parfois rappa, seppa ou kagimono-hiki, ou encore kusa (les herbes, une des techniques consistant à attendre tapis dans l'herbe et à attaquer les troupes de dos après leur passage). En raison de leur origine géographique probable, les ninja sont aussi parfois nommés « homme d'Iga » (Iga no mono) ou « homme de Koga » (koga no mono), ou encore « troupe d'Iga » ou « de Koga » (Iga shu, Koga shu). Les ninja étaient en effet probablement issus de ces deux provinces voisines situées à côté de Kyōto. Ces provinces étant indépendantes, ils n'étaient redevables d'aucune taxe et jouissaient d'une liberté de mouvement que n'avaient pas les bushi (ou samourais), qui étaient eux inféodés aux daimyō (seigneur féodal) ; ils n'étaient pas non plus soumis au bushidō (code de l'honneur du bushi), et pouvaient donc pratiquer des techniques de guerre non-orthodoxe (espionnage, guérilla, embuscades, assassinats). N'étant pas liés aux grandes familles, celles-ci les utilisaient pour leurs basses besognes (pillages, assassinats). Une de leurs grandes spécialités était de s'introduire de nuit dans les châteaux et camps militaires et d'allumer un incendie, afin de faciliter l'assaut par des troupes classiques ; ils se déguisaient en général pour porter la même tenue que leurs victimes (exit donc la tenue noire) afin de semer la confusion. | |
| | | Akimitsu Azama Noble
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| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Dim 13 Aoû - 12:56 | |
| La Geisha
Une geisha (芸者) est une femme japonaise dédiant sa vie à la pratique des arts traditionnels. Le mot « geisha » peut s’interpréter comme « personne d’arts ». Les geisha étaient très nombreuses aux XVIIIe et XIXe siècles. Elles existent encore aujourd’hui bien que leur nombre décroisse.
À Kyōto, les geisha sont dénommées geiko. Les apprenties geisha sont appelées maiko.
Les geisha étaient traditionnellement entrainées depuis leur petite enfance. Les jeunes filles étaient vendues par les familles pauvres à des maisons de geisha (les Okiya) qui se chargeaient de les élever et de les entraîner. Durant leur enfance, elles travaillaient comme bonnes, puis comme assistantes dans les maisons de geisha pour contribuer à leur entraînement mais aussi pour assurer le coût de leur éducation. C'est une forme d'entraînement traditionnelle au Japon et qui perdure encore aujourd'hui, dans laquelle l'étudiant vit chez son maître, l'aide, le regarde pratiquer, l'assiste et exécute les tâches ménagères. Cet entraînement dure souvent plusieurs années.
Elles commençaient dès leur plus jeune âge à pratiquer un vaste éventail d'arts, comme la pratique d'instrument de musique (en particulier le shamisen) et les chants traditionnels, la danse traditionnelle, la chanoyu (cérémonie du thé), l'ikebana (composition florale), la poésie et la littérature japonaise. En regardant et assistant leurs aînées, elles apprenaient le port du kimono, l'art de la conversation, différents jeux, et le rapport au client.
Une fois devenues apprenties geisha, c'est-à-dire des maiko, elles accompagnaient des geisha dans les maisons de thé, aux réceptions et banquets. Cette méthode d'entraînement persiste encore aujourd'hui mais elle est raccourcie, étant donné que la majeure partie des geisha le deviennent à la fin de l'adolescence.
Les geisha ne sont pas des prostituées mais plutôt des hôtesses. Bien qu'autrefois, il était possible et presque systématique d'acheter leur virginité (un évènement appelé « mizuage »), elles n'étaient pas forcées d'avoir des relations sexuelles avec leurs clients, ni même avec l'homme qui avait payé beaucoup d'argent pour acheter leur virginité. | |
| | | Akimitsu Azama Noble
Nombre de messages : 113 Age : 33 Ville : Edo Emploi : Aristocrate Date d'inscription : 06/08/2006
| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Lun 14 Aoû - 14:14 | |
| Le Yamabushi
Les yamabushi étaient les prêtres bouddhistes guerriers des montagnes, gardiens des temples et des trésors inestimables que leurs bâtisses recelaient en reliques sacrées. Les bouddha qu'ils prient plus souvent sont les Myo, la cohorte des bouddha guerriers. Malheureusement, beaucoup avaient la fâcheuse tendance de se considérer comme de véritables guerriers et à en concevoir une fierté très mal placée pour finalement en devenir de véritables. Quoi de plus paradoxale que d'avoir des guerriers chez les bouddhistes ! Il est clair cependant qu'en ces temps barbares, les dangers étaient omniprésents, il fallait donc protéger les temples bouddhistes soit des pillages occasionnés par les bandits et brigands toujours trop nombreux soit de se prémunir contre les éventuelles représailles engagées par un seigneur cupide et ambitieux. Leur vie reste cependant marquée par les prières quotidiennes et par le respect de la Vie. Même la vie de leurs mortels adversaires doit leur être plus précieuse selon le dogme bouddhique. Difficulté supplémentaire au combat qui est compensée par certains avantages. Ils resteront toujours cependant des guerriers avec quelques pouvoirs de prêtres. Dans certaines légendes, il existe des Yamabushi qui armèrent et apprirent à des villageois à se battre car ils étaient sans défense contre les brigands. Dans l'histoire par contre, une symbiose se serait opérée entre les différents clans opposés à l'empereur qui se réfugièrent dans les montagnes après s'être opposé à son autorité et devinrent les redoutables yamabushi tels que nous les connaissons (à la fin de la période Heian, au XIIème siècle). Des temples fortifiés montagneux qu'ils tenaient furent assiégés (pour les trésors qu'ils y renfermés) et mirent en échec les armées les plus puissantes pendant des années, etc. Pour eux, s'entraîner durement était leurs prières aux bouddhas et leur sueur leur meilleure offrande. Ils ont plus de restrictions que les autres gakusho notamment au niveau de leur pouvoir mais des avantages et pouvoirs indubitablement guerriers. Certaines légendes racontent que certaines confréries de yamabushi furent chassés impitoyablement par des seigneurs sans scrupules, ils furent contraints de s'adapter et devinrent par la force des choses des ninja. Les légendes racontent que les ninja du début étaient des prêtres mais que les années eurent raison de leur sainteté. | |
| | | ZanZa Maitre de Dojo
Nombre de messages : 123 Age : 34 Ville : Kyoto au dojo Kamiya Emploi : Maitre de kendo Date d'inscription : 02/08/2006
| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Mar 15 Aoû - 23:38 | |
| Je rajouterais le paysan,le forgeron(très important),les mercenaires,les marins et les pecheurs,contrebandiers,moines et pretes en génèrales(en effet il en existe pas mal au Japon autres que le Yamabushi), etc Enfin de compte il exsite pas mal de métiers.Si vous doutez qu'un métier n'existe pas vous pouvez toujours poser la question de le sujet "problèmes" et on essayera de vous répondre | |
| | | Akimitsu Azama Noble
Nombre de messages : 113 Age : 33 Ville : Edo Emploi : Aristocrate Date d'inscription : 06/08/2006
| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables Mar 15 Aoû - 23:40 | |
| Actuellement je suis à fond sur la recherche " Miko " ^^ Je trouve presque rien, c'est la misère... | |
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| Sujet: Re: Les classes ( métiers ) jouables | |
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